Cette peluche que j'aimais tant,

Quelques années auparavant,

Aujourd hui on me l'a pris,

J'ai soit disant grandis.

Tout cela n'est qu'un canular,

Ce n'est qu'un horrible cauchemar.

Ma taille a peut être augmentée,

Mais mon âme n'a pas changée,

Je suis toujours le même,

Et c'est comme ça que l'on m'aime.

Cette chanson au cœur va droit,

Car nous tuons de sang froid,

Et son esprit renaîtra,

Lorsque le sang coulera.

Un démon millénaire,

Emprisonné sous terre,

Il est sanguinaire,

Et son cœur est de pierre,

Immortel,

Son âme est éternelle.

Cette jeune fille d'argile,

Qui semblait si fragile,

Un désir passionel,

De se blottir contre elle;

Il la prit dans ses bras,

Et elle l'emprisonna,

Ils seront liés,

Pour toujours et à jamais.

Je me suis réincarné,

Maintenant je le sais.

Je connais des endroits inconnus,

Alors que jamais je ne les ai vu,

Des visages familiers,

Que je n'ai pourtant pas rencontré,

Certaines connaissances,

Dont je n'ai pas conscience.

La passion de lire,

Et la facilité d'écrire,

C'est dans la déraison,

Que je trouve cette inspiration.

Dans mon inconscient,

Prend vie ce souvenir d'antan,

Ce passé oublié,

Qui ne cesse de me tourmenter,

Cette histoire se passant,

Quelques siècles auparavant.

Mais j'ai l'espoir de te revoir,

Toi mon âme soeur,

Qui occupe mon coeur.

J'étais désesperé,

Le jour où tu m'as quitté,

J'avais perdu tout espoir,

D'un jour te revoir.

Tu t'en es allé,

Sans même te retournée,

Et mon coeur brisé,

Reste impossible à soigner.

J'ai cru me prendre une claque,

Le jour où tu m'as dit "je te plaque".

J'ai pleuré tous les jours,

C'était un chagrin d'amour.

La première fois que je t'ai vu,

J'ai cru qu'un ange était venu,

Tu étais si belle dans ta robe de dentelle,

Mon cœur s'est remplit de joie,

Quand mes yeux se sont posés sur toi,

Je te le demende avec fièrté et timidité,

Veux-tu être mon aimée?

Si tu dis oui,tu feras de moi un garçon comblé,

Si tu dis non, je serais désespéré à jamais.

Alors que je vois la vie en rose,

Ou que je sois morose,

Si tu es peinée ou chagrinée,

Viens dans mes bras mon aimée,

Si tu te pique sur du houx,

Viens que je te passe un bisou,

Et quand je vois du gui,

Je pense à toi ma chérie.