• Avant même d'avoir commencée,

    Cette histoire est finie, 

    Sans avoir pus goûter à tes baisers,

    Te voilà partie.

    C'était perdu d'avance

    Hurlait ma raison, 

    J'ai cependant tenté ma chance,

    Quelle belle décision. 

    Je ne regrette rien

    De nos discussions tard le soir,

    Des messages taquins,

    Seulement de n'avoir pus te voir

    Ne serait-ce qu'une fois

    Avant de baisser les armes

    D'être face à toi.

     


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  • Fichue fierté,

    Le parfait futur vole en éclat,

    Car je n'ai pas sus la mettre de côté,

    Je n'ai pas pensé à toi.

    Et voilà le rêve est brisé,

    A cause d'un ego surdimensionné,

    Tu n'as plus besoin de moi, 

    Et sur mon sort je m'apitoie.

    Si seulement j'avais osé t'en parler, 

    Tu serais peut être encore là,

    Mais tu as fais ton choix, 

    Je n'ai pas le droit de t"enchaîner.

    Retrouve ta liberté,

    Ainsi que ta joie,

    Ne te retourne pas,

    Je me relèverais.

     

     


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  • Le vent est une force de la nature,

    Une force pleine de murmures,

    Qui efface les blessures.

    Le feu si lumineux,

    Avec son crépitement joyeux,

    Nous aide à aller mieux.

    L'eau qui lave nos esprits,

    Qui nous purifie,

    Et est si jolie.

    La terre est notre mère,

    Elle nous offre une existence éphémère,

    Et regorge de mystères.


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  • Chose complexe qu'est l'adolescence:

    Le cœur balance, l'esprit vacille et l'on est jamais sûr de rien.

    Le temps passe tout va bien

    Et soudain le vide, le néant.

    On ne ressent plus,

    Ni joie ni peine, on est perdu.

    On se cherche on découvre on abandonne,

    La prudence nous fait parfois défaut

    Et nous fonçons droit dans un mur.

    Mais on se relève on réessaye,

    Si on ne peut le briser on l'escalade,

    C'est là toute la force de la jeunesse.

    Pleins d'espoirs et d'illusions qui alimentent notre passion

    On pense être le maître du monde;

    L'instant d'après on n'est plus personne,

    Le roi a perdu sa couronne,

    La réalité nous a rattrapée, le rêve est terminé.

    Quand à l'amour

    Ah l'amour!

    On croit que c'est lui, le seul l'unique

    On s'en éprend, on l'affectionne

    Jamais il ne nous blesserait...

    Belle insouciance que voilà!

    Ignorance pure et juvénile!

    Il nous poignarde dans le dos,

    Notre monde s'écroule on est brisé,

    Cette trahison nous tue.

    Alors on pleure et on se questionne:

    "Qu'ai-je fais de travers?"

    "Arriverais-je à m'en remettre?"

    Ça fait mal... très mal

    Mais comme toutes les plaies,

    Les balafres béantes infligées à notre cœur finissent par cicatrisées.

    C'est alors qu'il nous pousse des ailes,

    Et avec elles l'envie d'être soit même

    De ne plus se cacher; enfin s'affirmer

    On rêve de liberté.

    L'enfance disparaît peu à peu,

    Pour laisser place à un adulte néophite

    Qui, pleins d'interrogations entre dans un monde de grands.

    Alors on se démène on se débat mais l'enfant est toujours là,

    Bien caché au fond de sois.

    Il sommeil en attendant le bon moment

    Pour refaire surface et donner ce petit grain de folie,

    Celui qui donne cet éclat magnifique à la vie.

     

     

     

     

     

     


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  • Dans ce champs de blé

    Éclairé, à la lueur du soir,

    Des épis tranchants comme des rasoirs,

    Achèvent mon cœur déchiré.

    Et dans ce lieu en mouvement,

    Des coquelicots éphémères,

    Comme toute vie sur terre,

    Parés d'un rouge éclatant;

    Sanglant, comme celui qui,

    A présent perle sur mes doigts,

    De s'être mainte fois,

    Accrochés à la vie,

    Alors que j'aurais pu,

    Bien souvent lâcher prise,

    Et me laisser aller comme la brise,

    Qui aujourd'hui ne souffle plus.


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