• Tristesse illimitée

    Tu étais dans le bois,

    Près de chez moi,

    Sans gants et sans bonnet,

    Tu étais gelée.

    J'ai pressé le pas,

    Je t'ai prise par le bras,

    Pour t'emmener te réchauffer,

    Devant un bon café.

    Je ne m'en étais pas aperçu,

    Pendant que l'on marchait dans la rue,

    Mais des larmes coulaient sur tes joues,

    Et glissaient dans ton cou.

    Tu étais bouleversée,

    Tu ne cessais de pleurer,

    Alors je suis resté là,

    Je ne partirais pas.


  • Commentaires

    1
    Lundi 25 Novembre 2013 à 18:38

    Trop cuuuuuuute!!!!

    2
    Lundi 25 Novembre 2013 à 18:46

    Ah oui?

    3
    Lundi 25 Novembre 2013 à 19:05

    Oui :)

    4
    Lundi 25 Novembre 2013 à 19:41

    XD merci jadou

    5
    Lundi 25 Novembre 2013 à 19:45

    De rien . c'est ce que ma petite soeur dit tout le temps: "Trop cuuute" XD

    6
    Mardi 26 Novembre 2013 à 18:12
    Je dis exactement la même chose, merci les filles ^^
    7
    Dimanche 1er Décembre 2013 à 12:32

    C'est très beau. Ce poème me fait penser à un roman :).

    8
    Dimanche 1er Décembre 2013 à 19:07

    Ah oui? Lequel?

    9
    Dimanche 1er Décembre 2013 à 19:35

    La disparition d'Anna. C'est un excellent livre :).

    10
    Dimanche 1er Décembre 2013 à 19:41
    Faudrais que je me le procure.
    11
    Dimanche 1er Décembre 2013 à 20:18

    Je croi que je l'ai déjà lu...

    12
    Lundi 2 Décembre 2013 à 19:48

    Ah je l'ai trouvé au CDI de mon collège donc c'est fort probable :o



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