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Tristesse illimitée
Tu étais dans le bois,
Près de chez moi,
Sans gants et sans bonnet,
Tu étais gelée.
J'ai pressé le pas,
Je t'ai prise par le bras,
Pour t'emmener te réchauffer,
Devant un bon café.
Je ne m'en étais pas aperçu,
Pendant que l'on marchait dans la rue,
Mais des larmes coulaient sur tes joues,
Et glissaient dans ton cou.
Tu étais bouleversée,
Tu ne cessais de pleurer,
Alors je suis resté là,
Je ne partirais pas.
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Commentaires
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Trop cuuuuuuute!!!!