La pauvreté et la misère,

Sont des problèmes interplanétaire,

L'homme est la cruauté personnifiée,

Et il est aussi porteur de méchanceté.

Le chômage est comme un échafaudage,

Il grandit à l'infini,

Et presque aucun homme ne le gravit.

La vie n'est pas un fleuve tranquille,

C'est une rivière à crocodiles.

Si vous n'êtes pas un bon patron,

Vous obtiendrez la démission,

Et un mauvais employé,

Risquera d'être viré.

Notre société est mal faite,

Et jamais elle ne sera parfaite.

Telle est mon idée,

Celle d'un jeune employé.

Cette vie est un supplice,

Alors qu'elle pourrait être un délice,

Elle est ennuyeuse,

Alors qu'elle pourrait être heureuse.

Embêtante,

Alors qu'elle pourrait être palpitante,

Vive et instinctive,

Lente et énervante.

Elle serait paisible et irrésistible,

Calme et pleine de charme,

Si l'on effaçait les erreurs,

D'un coup de correcteur.

Aujourd'hui c'est l'anniversaire,

D'une personne qui m'est chère,

Ce jour où tu es née,

Jamais je ne l'oublirais,

Tous ça pour te dire,

Que dans les années à venir,

Ta présence m'est indispensable,

Et cela n'est pas négociable.

Aujourd'hui c'est le printemps,

Les oiseaux chantent en virevoltants,

Aujourd'hui c'est le printemps,

Et tout le monde est content.

Le printemps est arrivé,

Et tout a chaviré,

Je t'ai rencontré,

Et le mois d'après,

Nous échangions notre premier baiser.

Parfois on se disputait,

Mais chaque fois on se réconciliait,

Je me dit que notre amour,

Durera toujours.

Mis de côté et rejeté,

Je suis oublié et ignoré,

Une vision négative,

Broyer du noir en perspective,

En dépit de moi,

Dans le désespoir je me noie,

La solitude est un poison,

Qui mène à la dépression.

Mon esprit torturé,

Des amis que j'aimais,

Les yeux pleins de larmes,

La vie a perdu tout son charme.

Ces pensées qui me hantent,

Les oublier me tente,

Je serais seul pour toujours,

Et jamais je ne connaitrais l'amour.