Comme une fleur,

Tu apportes le bonheur,

A mon coeur meurtri,

Lasse de la vie,

Et chaque jour grâce à toi,

Dans le bonheur je me noie.

La tristesse n'est qu'un lointain souvenir,

Ton sourire est mon présent et mon avenir,

Oh ma joile,

Je t'aime à la folie.

Notre perception est obscurcie,

Par la peur, l'honneur et l'orgeuil,

Mais si les vitres du monde,

Etaient polies et nettoyées,

La lumière entrerait à flot,

Et la part d'ombre,

Qui se trouve en nous disparaitrait.

Tout serais plus facile,

La vie serait plus calme,

Et les différents se ferais rares.

Chacun à une vision du monde qui lui ai propre,

Ne la négligée pas.

Quel désespoir de vous revoir,

Chaque nuits dans mes cauchemars,

Lui qui a tué,

Celle que j'aimais.

Il l'a fait souffrir,

Ne l'a pas fait mourir,

Il l'a enlevée,

Jamais je ne lui pardonnerais.

Elle est morte dans la douleur,

Ayant comme vision son tueur,

Pendant que je la cherchais,

Lui il la torturait.

Quand je l'ai enfin trouvée,

Il l'avait écartelée,

Et cette vision d'horreur,

Me donne encore mal au coeur,

Ca a détruit ma vie,

Depuis plus jamais je n'es ris

Nous ne nous connaissions pas,

Tout du moins jusque là,

Et nous avions notre vie,

Nos propres amis,

Jusqu'à ce jour,

Qui la bouleversera pour toujours.

A jamais nous serons liés,

Telle est notre destinée.

Voici un poème qui illustre une fiction qui va être créer, je vous met le lien: http://lier-par-le-destin.eklablog.com

Quand je t'ais vu,

J'ai sus,

Que sans toi ma vie,

Ne serait qu'une supercherie,

Je me suis aprroché,

Pour te serrer,

Fort dans mes bras,

Être prêt de toi.

Mais tu as pris peur,

A cause de ce visage de malheur.

Je ne suis pas très beau,

J'ai le coeur en morceau,

Car a cause de moi tu as fuis,

Tu es partie loin d'ici,

Je suis sur le bord de la noyade,

Mon esprit s'évade,

Je vous dis adieu,

Je suis mort au Cap Malheureux.