Je suis un idiot,

Doublé d'un nigaud,

Car ma mère est en colère,

A cause de mon manque de savoir faire.

Je ne prends pas d'initiaives,

J'obéis aux directives,

Mais après je me fais crier,

Je l'avais surement mérité.

Il faut que je change,

Je ne suis pas un ange,

Je dois m'améliorer,

Et mieux me comporter,

Pour lui faire plaisir,

Et la voir sourire.

Cette personne illumine ma vie,

Et éclaire mes nuits,

Elle est toujours dans ma tête,

Et chaques jours je m'entête,

A essayer de lui plaire,

Mais même si j'éspère,

Il y a méprise,

Car je réalise,

Qu'elle me voit comme un ami,

Et non comme celui,

Qui pourrait partager ses journées,

Et lui voler un baiser,

Juste pour la faire sourire,

Je l'aime à en mourir.

L'hiver arrive à grands pas,

Et avec lui arrive le froid,

Mais ne perdez pas le sourire pour autant,

Car le vent tourbillonnant,

Qui fait voler vos cheveux,

Et que les gens aprécient peu,

N'est qu'une caresse pleine de tendresse,

De notre planète Terre,

Que les hommes enterre.

Nous sommes en train de la faire mourir,

Elle que nous devrions chérire,

Cette planète qui est la notre,

Semblable à aucune autres.

Ensemble nous pouvons la sauver,

Mais ils faut que vous le vouliez.

Mon âme est sombre,

Et mon esprit n'est que pénombre,

Dans ma tête c'est l'enfer,

Et dans mon coeur c'est l'hiver,

Jamais je ne jouais,

Jamais je ne riais,

Je restais loin de tous ces enfants,

Qui criaient tout le temps.

Je tue sans scrupule,

Et même avec du recul,

Je suis sans pitié,

Prépare toi je vais te tuer.

Ce poème est un peu bizar, je vous l'accorde, mais je ne tue personne et je suis a peu près sociable, alors pas de rumeur comme quoi je suis un psycopathe s'il vous plaît^^.

Je me rappel de cet été,

C'était comme un rêve éveillé,

Aller à la plage,

Voir des paysages,

Faire des châteaux de sable,

Que de moments innoubliables,

A la piscine,

Bronzer sous les glycinnes,

Courir dans les champs,

Comme quand nous êtions enfants,

Manger des glaces,

Faire des farces,

Soyons fou c'est l'été,

Il faut nous amuser.

Mais quand je partirais,

Il faudra m'oublier,

Je te dis adieu,

Mon petit ange radieux.